Je l’ai achevé après être rentré de chez ma
mère. Éléonore, qui l'a entamé et lu en parallèle, l'avait achevé. Elle m'avait
simplement dit que la fin était étonnante et impressionnante. En effet. Je suis
resté longtemps songeur et quelque peu remué par une multitude de pensées et de
sensations dont, je crois bien – et j'y pense depuis hier –, il me
sera impossible, ou pour le moins difficile, de faire le démêlage. Ou alors, il
faudrait passer par une analyse de texte, et je n'en ai pas la moindre envie.
Je note tout de même, en mettant de côté la construction, que White Hotel
est assez similaire à The Flute player :
contexte russe, la guerre (quelle qu'elle soit, en définitive), la figure de la
femme qui traverse la tourmente de sa vie et de l'Histoire.
26 février 2001