Journée d’hier assez pénible à cause de mes cervicales et j’ai l’impression qu’il va en être de même aujourd’hui. Quoi d’autre ? Un peu d’inventaire de la boutique d’Éléonore, le 11 septembre de Mai, I volatili di Beato Angelico que j’ai presque achevé ; il ne m’en restait rien et ça me laisse un peu tiède ; mais je pense que j’ai plutôt besoin (et envie) d’un récit, d’une histoire que d’un recueil de textes divers (« estravangaze » dit Tabucchi dans sa présentation) en soi dignes d’intérêt (mais peut-être lus séparément et non à la file). Je l’avais pris au hasard parmi les « fins », les très beaux petit livres de chez Sellerio, avec leur papier ivoire. Ils me font penser aux miens et de les toucher ne fait qu’attiser mon envie de publier à nouveau. J’ai d’ailleurs pensé à une publication qui pourrait accompagner l’exposition d’octobre, À propos du temps, recueil de tous les exergues de Mai… (Comment se fait-il que, tout à coup, après tant de temps de calme, de repos, mes cervicales se manifestent ?...)

 

13 août 2016

 

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