Je délaisse un peu Tristano. Je n’en ai évidemment aucun souvenir et me demande ce que j’ai pu en dire à la précédente lecture. Ça ne m’intéresse pas trop. En même temps, je pense au « Bureau » et aux prochains textes pour « vingt grammes » dont un que j’écrirai à partir de certains de mes rêves, Les rêves qu’il m’a racontés ; c’est du reste bien avancé. Mais ceci explique sans doute cela (c’est-à-dire que ce ne sont pas mes pensées qui m’empêchent d’accorder toute mon attention à Tristano, mais son peu d’intérêt à mes yeux qui permettent à mes pensées de le dominer)…
19 avril 2018