Il pleut. Je viens de passer deux heures devant la télé après avoir terminé Tabucchi et la préface des Contes carnivores. Je m’étais promis de relire Sogni di sogni aussitôt après l’avoir achevé et en notant les mots inconnus, donc avec le dictionnaire. Le nombre faible de pages et le découpage en petits textes qui n’excèdent pas les quatre pages s’y prêtent. J’ai commencé en relisant le rêve de Dédale. (Incidemment, j’y ai rencontré la « fable » des portes qu’il avait déjà utilisée dans Il gastrite di Platon. Je ne la saisis toujours pas...)

 

29 avril 2012