Cette nuit, avant d’aller me coucher, j’ai repris le 1er juillet de Mai depuis le début ; je n’ai pas fini (trente-huit pages), mais je suis un peu plus confiant que la dernière fois. Au lit, j’ai lu un peu ; regain d’intérêt pour Ariette. Je me suis arrêté à un texte consacré à Proust (et à Vermeer, évidemment)… (La dame de la maison au jardin lave la grille de la porte qui donne sur la calle de l’église. Ce n’est pas une domestique)