
Treviso et son aéroport détestable. Salle
d’attente, départ dans une heure. Éléonore travaille sur son laptop (It was
just a one-off), j’ai entamé Donna di Porto Pim. Je relève dans les
premières lignes du prologue : « Ho molto affetto per gli onesti
libri di viaggio e ne sono sempre stato un assiduo lettore. Essi posseggono la
virtù di offrire un altrove teorico e plausibile al nostro dove
imprescindibile e massicio. » « J’ai beaucoup d’affection pour les
livres de voyages et j’en suis un lecteur assidu depuis toujours. Ils possèdent
la vertu d’offrir un ailleurs théorique et plausible à notre ici
concret et massif. » Cela rejoint ce que j’écrivais récemment à JYLB…