Mi dispiace, Antonio, mais je ne le finirai pas. Il s’est passé trop de temps (j’en étais à la page 72), je n’adhère toujours pas à ce texte (dans son sens premier : je n’y colle pas, il ne se colle pas à moi). Peut-être la prochaine fois. Il y a deux notes :

 

Bella ciaó !

Je n’ai pas relevé la page, tiens donc. Qu’est-ce que je voulais dire ? (Ou est-ce cette fois où, en provenance d’une cour ou d’une fenêtre du pâté de maisons, alors que je me trouvais dans le jardin, j’avais entendu une fille, ou une femme, chanter Bella ciaó ? Et j’aurais justement été en train de lire Piazza d’Italia ?...)

 

30 « Le ragazze… »

« “ Voglio farmi monaca. ” “ Le ragazze piangono con un occhio,
le maritate con due e le monache con quattro ”, aveva riposto l’Esterina. »

« “ Je veux être religieuse. ” “ Les jeunes filles pleurent d’un œil, les
mariées de deux et les religieuses de quatre ”, avait répondu Esterina. »

Je ne comprends pas ; ou ne suis pas sûr de comprendre : que sont
ces quatre yeux ? Je devine le troisième, mais quel serait le quatrième ?

 

4 novembre 2018