Quelle surprise en me levant : un mur blanc à la place du ciel et de la mer ; le brouillard occulte tout jusqu’aux immeubles côté terre… Je viens d’achever Il filo face à l’orrizonte parfaitement invisible. Je suis curieux de relire ce que j’en ai dit à la première lecture. C’est un très beau texte, j’ai presque envie de le relire. (Ce que j’en dis ? Que j’en sors comme d’une brume que je me refuse à dissiper…)
9 avril 2018