C’est terrible : j’allume ma première cigarette, prends Les Météores, l’ouvre, lis la première ligne, content de pouvoir renouer avec la lecture à cette heure-ci au bureau, lorsque le mot « journal » me traverse l’esprit. Alors, je referme Les Météores et ouvre le cahier. Hello, how are you ?...

 

(dans une lettre à Sue)

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