J’ai passé deux heures devant l’écran avec le chef et sa radio (mais Rameau et Kagel dans les oreilles). Je me retire dans « ma » salle pour poursuivre  Les Météores avec une cigarette. Et qu’est-ce que j’entends, puis vois « au-dessus » de moi, à deux mètres de ma tête ? Un ouvrier, un véritable ouvrier avec une brouette qui, niant la loi universelle, ne semble pas vouloir aller manger, alors qu’il en a certainement bien besoin après une rude matinée d’efforts. Alors ?...

 

19 juillet 2002