J’écris sur le dos d’un formulaire vierge de la BNF que j’avais emporté chez ma mère avec enveloppes et fichiers au cas où il aurait plu et que je n’aurais pu travailler dans le jardin. C’est ainsi que je me suis rendu compte que je n’avais plus de carnet à disposition. Ce qui me sert d’appui, c’est Les Météores que je lis à petites doses, sans enthousiasme, mais en attente tout de même. Je vais tâcher de m’y remettre…

 

7 juillet 2002