J’arrive enfin à la fin. Au fil des pages qui m’en séparent, je m’ennuie de plus en plus. C’est extrêmement lourd, convenu, démonstratif ; insistant à l’excès. Je me demande si je ne vais pas me payer le luxe de l’interrompre là, à cinq pages de la fin qui, sans doute, détruirait tout ce qui me resterait encore à saluer
de ce gros roman…
7 août 2002