BAR MIO, Garibaldi. La terrasse est à présent au soleil. Café. Légère confusion avec le serveur, alors que j’avais parfaitement compris (quoique je continue à confondre sessanta et settanta). Ils font ici des panini qui m’ont l’air particulièrement délicieux ; comme l’est cet instant, à cette terrasse, au soleil, parmi le marché. J’ai ouvert Tabucchi, ai lu quatre lignes de « Capodanno » et l’ai refermé. Ce n’est pas le moment de lire. Je choisirai un autre moment, un autre endroit, à San Giorgio, par exemple...