Terrasse, déjà. Bar della Malva, Trastevere. Campari soda servis avec des chips en frites (? frites-chips) et deux mini-sandwiches. Grazié. Le vieux-Rome, dont les habitants se considèrent comme les vrais Romains (de l’autre côté du Tibre). J’ai avec moi La gastrite di Platone que je possède en français et qui, étrangement, a paru tout d’abord en français si j’en crois (et je le crois) le copyright qui donne pour titre original le titre français, puis le prologue de Tabucchi qui s’explique à ce sujet. Malheureusement, je n’ai pas l’esprit à la lire, sans compter le bruit environnant : un marteau-piqueur, une chaîne dans le bistro d’à côté, les conversations ; et peut-être aussi le Campari avec le soleil sur la tête encore qu’il commence à disparaître derrière les toits