Petit déjeuner (céréales), l’œil sur la digue et le brise-lames. Il fait moins froid qu’hier, j’ai pu lire dans la loggia, suite de Thomas. Sur la couverture, une photo tirée d’un film et au fil de la lecture, je m’aperçois que j’ai vu un film qui ressemblait fort à ce que je suis en train de lire, l’histoire d’une lectrice de la reine, ça ne peut être que cela. Heureusement, il ne m’en reste que des impressions, je peux poursuivre sans crainte d’être perturbé par des images. Maudits soient les cinéastes sans imagination (donc sans images), qui ont besoin d’avoir recours au texte, aux mots (exception faite de celui de Rohmer, Le duc, le titre exact m’échappe, c'était une réussite)… (L’Anglaise et le duc, très fidèle au texte de Grace Elliott.)

 

27 janvier 2021