Je reviens de la frontière, tabac. À Kockherst, se tient un marché aux puces, je suis passé à côté. Je l’avais repéré il y a quelques jours sur le réseau, avais eu l’intention d’y aller, mais l’absence de ventes totale durant les trois derniers jours m’a complètement démoralisé et j’y ai renoncé. J’ai été tenté, sur le chemin du retour, de m’y arrêter ; j’y ai renoncé. À quoi bon si je ne vends plus rien ? Et je n’avais ni caddie, ni monnaie… Je viens de reprendre le chemin de la Chine de 1986 (Mao omniprésent, tacitement ou non)…