Terrasse, soleil. Winston et Meredith sont partis alors que la nuit tombait sur le jour le plus long. Éléonore m’a ensuite demandé si je m’étais ennuyé comme la dernière fois ; « no at all, it was fine ». Et c’est vrai, en grande partie parce qu’ils n’ont pas parlé de leurs affaires personnelles et je ne me suis donc pas senti en retrait ; peut-être aussi parce qu’il faisait beau, que nous pris apéritif et café à l’extérieur. Éléonore a tenu à se charger de tout (j’ai fait la salade, me suis un peu occupé du service), fish pie (un peu sec), légumes et gâteau au chocolat à base de mascarpone (un peu trop cuit). Je n’ai pas fumé durant ces cinq heures (alors que j’aurais pu), ai tiré de temps à autre sur ma e-gig. (en cachette je me sens un peu bête avec ce machin), ça ne m’a pas manqué. Après leur départ, j’en ai fumé une, puis une autre avant d’aller me coucher. (J’ai pas mal parlé avec Winston, mais j’ai bien peur qu’à cause de ses problèmes d’audition, il n’ait pas compris la moitié de ce que je lui disais – dommage, j’étais plutôt en forme.) Je vais me remettre à Theroux (le français est souvent agaçant)…