Je suis dans le train. Comme les précédents, il est quasiment désert. Faire rouler un train d’une demi-douzaine de voitures pour quatre pékins, ce n’est évidemment pas rentable… (Et alors ? C’est un service public – mais ils pourraient adapter les rames à la fréquentation –, et je suppose qu’aux heures de pointe, il est plein…) J’ai repris Theroux, dans un train aussi (c’est tout de même autre chose que Mémé)… Le ciel se couvre (soleil jusqu’à présent) et je vois le coup où la pluie m’accueille à la gare. En attendant, je suis à Istanbul…
2 décembre 2024