Hier, au lit, après avoir passé plusieurs heures sur la maquette de La Vulgarité, j’ai lu la deuxième nouvelle de Fuori, après la première entamée au bureau. Susanna Tamaro a quarante-neuf ans, a apparemment beaucoup publié. Je ne m’ennuie pas, mais j’attends. Un point positif en ce qui concerne mes aptitudes en italien : l’écriture est simple (presque simpliste, mais volontairement simpliste), limpide, et la jouissance de cette limpidité me fait sans doute un peu oublier la « qualité » de l’objet. J’attends...
20 février 2006