p. 66, de la relation amoureuse, notamment avec les instrumentistes,
professeurs.
Réf. à Vermeer. T. dit :
« Mais peut-on affirmer que la manière dont ces
tableaux sont peints implique une condamnation morale ? Ces jeunes filles, ces
jeunes gens ne sont-ils pas dans leur droit quand ils se font la cour et
s'aiment ? »
Et il renvoie au Concert de Ter Borch où
apparaît un troisième personnage, vieil homme qui d'après Norbert Schneider dans
mon Vermeer (la même figure de trio apparaît dans certaines de ses
toiles) est un entremetteur ; l'instrumentiste, le professeur est un soupirant
et la relation est illégitime : le cours se fait tandis que le mari est
absent...
Idem pour Duo, p. 68. Où voit-il un verre
? (dommage que les reproductions réduites soient en noir et blanc) T. dit : «
L'amour est bien là. » Je parlerais plutôt d'ébauche de désir. Et ce duo
n'est-il pas une manière de trio ?...
Voir la « pantoufle oubliée » de la page 69,
Dame à son virginal de Metsu...
T. renvoie à Femme lisant de la page 35,
d'Elinga, où, c'est moi qui relève, apparaissent deux pantoufles oubliées
(désir d'aise, de confort pour la lecture ? ou est-ce un signe de dissipation,
donc attitude répréhensible ?)...
p. 73, Femme lisant une lettre, la
pantoufle oubliée, le chien, mais surtout la domestique qui écarte un rideau
dévoilant une marine (l'expéditeur de la lettre serait en mer ?). Metsu =
Vermeer, le rapprochement, les similitudes sont troublantes... Mais T. dit que
la marine symbolise les tourments de l'amour (tempête) et que la lettre est
celle qu'écrit l'homme dans Homme écrivant une lettre posé en vis-à-vis.
À voir...
Question : les titres des toiles sont-ils des
auteurs ?...
L'étrange Femme à la fenêtre de Jacob Vrel, p. 78...
4 janvier
2001