Angleterre, 1930, le ton est entre Chesterton et Maugham (mais davantage Chesterton, ne serait-ce qu'à cause des prénoms du narrateur : Gilbert Keith). C’est plaisant, attachant, encore que surnage l'impression d'une traduction... Pastiche, parodie. L'équivalent en langue anglaise serait, je pense, beaucoup plus attrayant. (Exercice qui pourrait être intéressant : le traduire en anglais et faire passer le texte sous le nom factice d'un Anglais comme un renvoi à ce Français qui conte l'histoire à la première personne d'un écrivain anglais qui use de pseudonymes.) Mais j'attends la suite...
19 avril
2000