À une centaine de mètres de là, Éléonore a forcé l’arrêt devant une supérette qu’elle tenait absolument à visiter. J’en ai profité pour entamer le Tchekhov dans la voiture, avec beaucoup de peine à cause de mes cervicales qui ne m’ont pas lâché de la journée, et encore à présent je les ressens…

 

6 avril 2002