« Il n'est nullement
nécessaire que la musique éveille
en nous des images, des idées ou des symboles :
sa mathématique pure et simple suffit à notre délectation,
comme le prouvent à l'infini Bach,
Mozart et cinq cents autres,
et Beethoven lui-même [...] »
J'ajoute que la musique n'a rien
à éveiller du tout si ce n'est les pulsions névrotiques de la
grâce et du déchirement conjugués...
Qui sont les « cinq cents autres », formule réductrice
destinée sans doute à masquer une carence totale dans le
domaine,
mélomane souffreteux et béat ?