« [Les primitifs] de la Nouvelle-Zélande plantaient un arbre à la naissance de chaque enfant et considéraient comme augurale pour ce dernier la vigueur ou la faiblesse de la croissance végétale. Ces correspondances physiques avaient même une influence très forte sur le langage, en y introduisant toute une série de mots imagés qui exprimaient à la fois les qualités d'un homme
et celles d'un arbre. »