Je m’étais arrêté à l’interview de Philippe Lejeune, délibérément car, pour une raison qui m’échappe un peu, je craignais, avant ma propre interview et au cas où les questions auraient tourné autour du journal en tant que choix et pratique, qu’un point de vue extérieur et exhaustif viennent troubler mes propres idées sur la question (si tant est qu’elles existent vraiment) ; viennent donc en interférence avec elles et mieux, d’où, sans doute, la raison principale de cette crainte, les remettent en question… Analytiquement, elles sont trop fragiles pour que j’aie pu me permettre de les confronter à celles d’un spécialiste… (Mais quelle drôle d’idée ? en quoi est-ce important ? qu’ai-je à faire de l’analyse ? pourquoi ce complexe ?)