« Lettre touchante, éperdue d'affection et de reconnaissance, d'un brave Italien [...]. Il a lu, par fragments à ses rares moments de loisir (car il est pris toute la journée par son travail), mon recueil d'articles : Al di sopra della mischia. Il en est si transporté [...] qu'il me demande (comme unique faveur) la permission de venir me voir [...]. Me voir, non pas me parler, « car il ne saurait me parler ». Seulement accomplir un pèlerinage... (Pauvre modeste ! pourquoi ne me donne-t-il pas son adresse ? J'aurais tant de joie à lui faire un peu de joie !) » Hm hm