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18 WORD… J’aurais choisi SWORD

« Je me concentre sur le mot “ mot ”. Je le vois là-bas, dans la ligne de mire. Il respire un peu, il grandit, c’est lui que je vise, que je veux toucher et trouer. MOT. Avec une lettre de plus, c’est MORT. En anglais, ça ferait WORD et WORLD. » C’est simplement dans la mesure où la lettre s’intercale pareillement , mais « épée » et « mot » restait dans l’idée de la visée, de la touche et du trou. (C’est drôle comme de plus et plus je sens des affinités entre lui et moi alors qu’il n’y a rien pour nous rapprocher – Venise peut-être ?...)

 

Je ne sais pas pourquoi il s’encombre d’éléments narratifs

(romanesques) que, du reste, il évacue très vite...

 

 Je m’aperçois en transcrivant ces notes, que je n’ai rien dit de ce texte. Mais la note précédente dit tout. J’ajoute que face à ce vrac – foutoir ? –, se pose de nouveau la question suivante : est-ce un fumiste ou un être d’une liberté totale ? Je pencherais plutôt pour le second (avec un peu de réticence qui naitrait du fait qu’il y ait ces passages narratifs – qu’il doit prendre un malin plaisir à saupoudrer au jugé)...

 

191 et suivantes, Dôgen et le temps

 

Suivent des notes miennes sans grand rapport (quoique...).

Le futur, c’est ce dont on n’aura pas à se souvenir…

Faire mon propre calendrier.

Voir le calendrier révolutionnaire.

 

1er mars 2011