Je l’ai entamé la nuit dernière, au lit – je lis de plus en plus souvent au lit et de moins en moins souvent le soir après le repas ; c’est-à-dire que je lis peu. Tsukushi signifie « tige à sporanges de la prêle », dixit le glossaire. Je retrouve Mitsuba mariée à Takashi (voir le texte du même nom – d’après la quatrième de couverture, il s’agit du quatrième texte d’un deuxième cycle romanesque – et non second comme indiqué). Pas de surprise au niveau du ton, de l’écriture, du style (encore que ça me semble davantage « rédigé » que dans les précédents que j’ai lus) ; l’ordinaire, le banal, la famille, le petit détail de la vie quotidienne. C’est Ozu… C’est dommage qu’il y ait quelques petites incorrections, fautes de français qui font penser qu’il s’agit d’une traduction...