J’ai achevé Tsubame. C’est encore une fois un très court récit d’une histoire simple, presque simpliste, encore qu’ici elle mette en scène les Coréens du Japon (la narratrice est d’origine coréenne) qui (j’apprends des choses insoupçonnées) ont beaucoup plus souffert de la discrimination et du racisme que je ne le pensais (voir le tremblement de terre de 1923 dont les Japonais ont profité pour en éliminer des milliers – ainsi que d’autres indésirables, dont des communistes). Le style est souvent à la limite du télégraphique et ça me plaît. De toute évidence, elle transcrit en français ses pensées en japonais...

 

20 octobre 2012

 

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