J’ai pris le petit déjeuner au jardin, au soleil, c’était un ravissement. Puis j’ai poursuivi Stravinsky. Après l’entretien, Boulez, Stockhausen, on en vient à la part technique de l’ouvrage, quelques œuvres passées en revue, disséquées (par Craft, j’imagine – ce n’est pas signé). J’ai survolé ; il faudrait la partition, ou, pour le moins, l’avoir dans les oreilles. Le roi des étoiles, Symphonie pour instruments à vent, Pulcinella. La référence constante est Le Sacre. Comment passer outre, c’est l’œuvre musicale la plus fantastique de tous les temps ?… Pas de puces. Éléonore a du travail et, en début d’après-midi, va chez Jeanne pour préparer le swishing de demain…

6 juin 2015