J’ai finalement entamé le deuxième chapitre. Cela commençait par des souvenirs d’enfance, en tout cas, ça en avait le ton. J’ai failli renoncer. Puis j’ai poursuivi et bien m’en a pris, car ces souvenirs-là, c’est un enfant/homme qui les raconte, fictifs ou réels importe peu ; un homme qui serait la plume des pensées d’un enfant, un homme qui se laisse aller aux pensées de l’enfant, des pensées qui n’en seraient pas, mais qui seraient le brouillon d’une pensée où chaque instant est renouvelé et magnifié et actualisé et réalisé pour la gloire de la seule imagination. Cela devient très beau…

 

25 mars 2005