« Cet abus d’alcool chez Strawinsky s’inscrit dans le sillage de tous ces grands buveurs que furent les littérateurs anglo-saxons de ce siècle, Faulkner, Steinbeck, Malcolm Lowry, Dos Passos, Tennessee Williams, Dylan Thomas et tant d’autres, les peintres du Paris 1900 […] et, plus loin, dans leurs dernières années, Moussorgsky et Beethoven. Sans oublier Ionesco, dont l’esprit  burlesque rappelle celui de Strawinsky, et qui un soir de brume, déclara très approximativement : “ Le whisky que je préfère, c’est le whisky Korsakov, mais juste une Sheherazade… ” »