J’ai passé une partie de l’après-midi au 21 janvier qui m’a donné un peu de fil à retordre et me semble amorcer le point de chute, ou pour le moins de descente. Puis j’ai conduit Laura à Mouscron (il restait trois minutes lorsque je me suis arrêté devant la gare ; « j’espère que tu l’auras » lui ai-je dit alors qu’elle descendait de la voiture). Au retour, j'ai reporté les notes des derniers livres lus qui s’empilaient un peu trop sur mon bureau. Au moment de les ranger dans la bibliothèque, j’ai bien dû admettre qu’il n’y avait plus de place et qu’il fallait faire quelque chose. Je m’y suis employé : jeter un œil à la souffrance, essayer d’y trouver un peu de place où j’aurais pu loger un auteur favori de la bibliothèque principale. Ça a été Sollers. La place n’étant pas suffisante, j’ai retiré Amélie qui est retournée à sa place précédente entre Norge et Outers. À présent, Sollers cohabite avec La Varende (à mon avis, ça ne devrait pas lui plaire). J’en ai profité pour essayer de me débarrasser de quelques livres et, comme d’habitude, ça n’a pas été bien loin. J’en ai survolé certains, dont Storia della lingue italiana que j’avais en partie lu à Venise l’année dernière.

 

27 septembre 2010