Campari, chips, bus Treviso, la foule, le petit bar aux délicieux Chinois (ai-je relevé le magasin de vêtements où Éléonore s’était arrêtée près de Miracoli tenu par une Chinoise ?), queues partout, nous allons à la presse, j’achète trois livres dont Il sergente nella neve qu’il me semble avoir lu en français, je vérifierai (oui, je l’ai, en italien, sans date de lecture), j'échange quelques mots avec la caissière (NB : La voce della luna, à la façon Monde, un hebdomadaire, L’Espresso, il me semble, qui propose en sus un DVD, vu le peu d’intérêt que je porte à ce mauvais film de Fellini, j’ai renoncé), impossible d’échapper à la queue qui ne fait que s’allonger et grossir, nous nous y mettons, chacun lit alors que la majorité autour de nous bat la semelle, douane, contrôle (moment toujours impressionnant de l’atterrissage, notamment lié au freinage dont la puissance m’époustoufle à chaque fois)...
29 octobre 2007