Hier soir, répétition Fauré. « Je suis complètement découragé », ai-je dit à Gonzague. C’était vrai et j’ai eu beaucoup de mal à m’y mettre. J’en ai un peu assez : ça traîne, je suis définitivement incompétent au piano. J’ai ensuite repris Saramago tandis qu’Éléonore était dans son bureau. Je suis emporté, comme d’habitude. J’aime sa langue et suis très surpris que déjà dans le premier texte, tout soit là, surtout la malice…

 

3 novembre 2012

 

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