Lorsque je suis redescendu, tout était calme, j’ai préparé le repas. Puis Éléonore s’est installée devant la télé, moi dans le sofa jaune, aujourd’hui blanc du vieux drap qui y est posé et noir des poils du chat qui s’y prélasse, en profite le temps que la porte entre la cuisine et le salon d’hiver reste encore ouverte (nous mangeons toujours là ; la cuisine est pratiquement achevée, mais il n’y a pas encore de table). J’y ai poursuivi Le radeau de pierre qui m’indiffère un peu, j’ai envie d’arrêter. Éléonore est montée, je me suis installé devant la télé avec l’intention de regarder un DVD. Lequel ? J’ai opté pour Perceval, mais la télé s’est allumée sur une émission consacrée à Cannes que j’ai bêtement suivie jusqu’au bout...
23 mai 2010