J’ai entamé Anthologie de l’humour noir qui est au pied de mon lit. Quelques pages chaque soir. J’ai prélevé aussi du tas de Bruxelles Paradis. Je l’ai survolé, il ne m’a pas semblé devoir être lu : c’est un livre qui doit exister sans qu’on le lise, qu’il n’est pas nécessaire de lire ; que l’on peut simplement ranger sans le lire. Puis, à la réflexion, j’en ai lu la première page avant d’aller le poser au pied de mon lit. J’en lirai deux pages par soir, avant d’éteindre la lumière. Pas un mot de plus...
1er décembre 2003