« Je ne sais pas si en Chine, on l’utilise [un tapis] dans un salon, mais il est tout à fait judicieux de le substituer au coussin. Comme l’indienne ou la tapisserie persane tiennent leur valeur précisément de leur négligé même, ce tapis a pour charme son insouciance. Ce n’est pas seulement le cas de ce tapis, mais tous les objets chinois sont négligés. On ne peut que conclure qu’ils sont l’invention d’un peuple qui ne se soucie ni d’intelligence ni de vivacité. Ils forcent le respect, dans la mesure où au moment où on les contemple, on ressent un ravissement. Le Japon fabrique ses œuvres d’art dans l’esprit d’un pickpocket. L’Occident donne à la fois dans la grandeur et dans la minutie. Quoi qu’il recherche, il ne parvient pas à s’arracher à la trivialité. »
Tout cela me semble un peu confus. Et qu’est-ce que « l’indienne » ?