« Il n’y a pas, en notre monde, d’hommes plus prétentieux que les amateurs de la cérémonie du thé. Ils délimitent leur territoire exigu dans le vaste univers poétique et s’y recroquevillent avec une extrême vanité, avec une extrême componction, avec une extrême mesquinerie, sans autre nécessité que de boire de l’écume et de se congratuler. »