Toujours aussi chaud. Mais d’une certaine manière, plus supportable. Moins lourd, peut-être. Petit déjeuner, suite d'Oreiller d’herbes. Léo et Gélase m’avait vanté l’écriture et la pensée de Sôseki. Un peintre parcourt la campagne, s’arrête à une auberge, fait des rencontres ; réfléchit à l’art, à la peinture, à la vie. Le narratif et les réflexions s’alternent. C’est fin, perspicace, d’une grande lucidité...