N’ai ouvert ni le carnet, ni le cahier ; n’y ai pas vraiment pensé, n’ai pas eu vraiment l’occasion. À la place (?), j'ai lu dans la journée un autre exemplaire de ma série des Pensée Universelle : Le procès du docteur Tabard d’un certain David Solot. Ça se lit comme peut se lire un roman policier, un interrogatoire, c'est-à-dire ces choses faites de questions, d’un certain suspens, de rebondissements. Il y a des maladresses d’écriture (tout le monde, témoins y compris, s’expriment au passé simple, par exemple), mais ça se lit bien, à tel point que je me suis demandé s’il ne s’agissait pas d’un fait réel restitué, écrit d’un magistrat. (L’auteur ne l'est pas.) À noter qu’il s’agit d’une pièce de théâtre ; c’est du moins présenté et voulu comme tel : il est manifeste que ce n’est pas imaginable sur une scène...
7 juillet 2005