Il est arrivé puisque je viens de lire le premier texte consacré à Dante. Brillant, d’une étonnante fluidité (1965, il avait une vingtaine d’années, je suis épaté), mais il me manque le texte lui-même (il est dans la souffrance depuis des lustres), que je n’ai jamais fait que survoler, parcourir, place par place (je parle de La divine comédie) en ne me résignant toujours pas à le lire en français. Quand viendra le moment de m’y mettre en « italien » ?... Troisième jour de mon nouveau plan tabac et depuis hier soir, j’ai mal à la gorge (je pense à M***, à Hubert). Il se poursuit sans trop de difficultés, encore qu’il me contraigne à des concessions. Avec les deux premières cigarettes, j’ai lu le Bureau 7 et 8 sur papier et, avec la troisième, Sollers. Entre chaque, j’essaie de « m’occuper » à des tâches qui ne nécessitent pas vraiment le tabac dont la saisie. Je vais me mettre à celle d’hier…
21 avril 2018