Le temps est détestable. Je viens de peiner à poursuivre Notes de chevet dans le rocking-chair – très inconfortable, je me demande pourquoi je le conserve – de mon bureau. Il y a mes lombes qui me titillent, la présence de Laura et Romero à l’étage, et enfin (et peut-être surtout) que ça ne m’intéresse pas beaucoup (mais ce n’est sans doute pas le bon moment pour lire ce type d’écrit)…

 

13 juillet 2014