Journée lourde, je n’ai pas fait grand-chose. À
midi, j’ai accompagné Éléonore dans des puces misérables à Rocke. Il
faisait une chaleur de plomb et je tirais mon nez. J’ai acheté un
Simenon, simplement pour dire de ne pas rentrer les mains vides : Maigret
et le coroner, Presses de
1er
juin 2003