Je reprends Lois où je l’avais laissé, c'est-à-dire aux uniques kanji, p. 10 (j’ai vérifié en feuilletant). J’ai parcouru les quelques pages suivantes. C’est un peu comme Paradis, mais avec des paragraphes, des sauts, des interlignes, de la ponctuation. Mais c’est le même méli-mélo de mots, manière de celui qui aurait tout lu Joyce, Artaud, les dadas, les surréalistes, et d’autres. Et Céline, j’ai failli l’oublier. Il a bien appris ses leçons. J’arrête aux environs de la page 30. Je ne vois pas ce que cela peut m’apporter… (À propos de « surréaliste », je note avec plaisir qu'Éléonore, depuis que je lui ai dit que le mot tel qu’il est employé aujourd’hui n’avait pas le moindre sens, emploie « surréel »...)
1er avril 2004