Le Parisien sur le Cézanne., photos Harcourt sur les murs (parois serait peut-être  plus juste) et noms de stations de métro. La mer est parfaite, il n’y a que le bruit sourd des moteurs et le claquement des tasses et soucoupes à café que le garçon dispose sur son bar. Petit paradis ; je pourrais lui ajouter Sollers pour que la clôture de l’un épouse celle de l’autre. Sade (sad ?). Dommage que Sollers manie mal l’humour (c’est-à-dire qu’il n’en a pas et s’efforce d’en avoir – il ne peut y avoir d’efforts en matière d’humour) et soit insensible (ignorant de) à la musique (même s’il prétend le contraire : son texte sur Haydn est à mourir de rire). Cela dit, c’est un petit Prince (je n’y vois rien de péjoratif). En présentation : « Philippe Sollers est né à Bordeaux. » Point. Il ne dit pas son âge. Encore un coquet. (Sollers est un petit Coquet.) J’ai bien envie de me payer quelques réflexions bêtes sur l’immensité de la mer que le trapèze des cheminées fend