Je poursuis L’Herbe vaille que vaille.
Faulkner encore, la digression de la digression, l’entremêlement du texte et du
texte. Je pense qu’il s’agit aussi d’une œuvre de jeunesse (précédant Le Vent
ou lui succédant ?). J’y prends évidemment du plaisir, mais en même temps je ne
suis pas sûr que cette lecture soit nécessaire, comme s’il s’agissait de mon
propre texte que je lisais (voir Office des tenèbres)…
26 juin 2002