Après m’être changé au retour du bureau, j’ai attrapé La Lucarne que j’avais oublié sous l’écharpe de Léo (celle qu’il m’avait offerte à son dernier séjour ici), les deux posés sur le rocking-chair. J’en avais lu le premier chapitre, quand était-ce ? Aujourd’hui, après le repas, j’en ai lu une cinquantaine de pages, sans déplaisir mais avec l’impression que j’allais renoncer ; ce n’est pas étonnant qu’il n’ait pas voulu que ça soit publié. Et puis, tout à coup, un personnage étranger à l’immeuble entre, s’installe chez le cordonnier au rez-de-chaussée, parle, et l’intérêt vient. Je vais le poursuivre au lit…
5 mars 2014