Froid toujours.

Moins 5 pour le moins...

Journée sans originalité.
Fatigue.
Mais c'est la saint Marcel.
Bonne fête Marcel...

Répétition chant, puis réunion chez N***.
Que je trouve de plus en plus belle...

Recrudescence du froid...

Ce matin, je me suis endormi sur ma table de travail.

Effroi et inquiétude.
Que m'arrive-t-il ?
Suis-je si fatigué que cela ou est-ce autre chose, je ne sais quel mal malin qui commencerait son œuvre par l'endormissement pour ensuite mieux attaquer ?

Cours à M*** qui fut une partie de plaisir.
Si tous les cours étaient ainsi...

Moins froid.
Légère humidité...

Fatigue.
Je n'ai pas entendu le réveil,

et suis arrivé en retard au travail.
Heureusement, ça s'est arrangé...

(Balade avec F*** jusqu'à Roubaix,
nous sommes allés au cinéma...)

(Je n'ai jamais tant pensé à Bernard que depuis qu'il est mort. Je ne penserai jamais autant au père de Bernard que depuis que je sais qu'il est mort. On ne pense jamais autant aux autres que lorsqu'ils sont morts. Le cimetière intérieur s'agrandit et avec lui la mémoire que l'on accorde aux autres et qui est la garante de leur survie, et mieux, de leur vie, prolongée, poursuivie, éternisée au sein de la pensée.)

Pluie, et moins de froid...

Vernissage d'une exposition

d'un dessinateur de presse.

Intéressant...

La Femme qu'il fallait tuer,

Germán Sánchez Espeso. Que j'ai abandonné à 5 pages de la fin, trop préoccupé que je suis pour y accorder l'attention nécessaire, qui a été forte au départ, puis s'est petit à petit affaiblie... De nombreuses phrase « lys » à reporter pour le second dictionnaire des fleurs...

Bonne année...

Froid. Neige...

Lever tard après m'être couché tôt :

six heures du matin !

Soirée et nuit passées chez F*** et A***.

Nous nous sommes bien amusés.

Mais dans le fond sommeillait la tristesse.

Où est-elle ? où est-elle ?

Coup de fil de Francine : Robert Kramer chez Rita, le 30. Kramer qui est intervenant au Fresnoy, ce que je savais, et qui monte une documentation sur Roubaix, ce qu'elle m'a appris. Malheureusement, le 30, nous serons à Londres pour la pièce de théâtre (dont j'ai du reste oublié le titre !). D'un autre côté, pourquoi Kramer, dont j'estime le travail même si je ne le connais que peu, avec qui je ne vois pas quelle affinité je pourrais avoir ? Peut-être tout cela n'aurait-il qu'un caractère publicitaire, puisque le Lys est désormais roubaisien (au fait : et ddo ?).

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