« Il n’est pas indifférent de savoir dans quel genre se situent les mots d’une langue à l’autre. Si je vous dis “ la liberté ou la mort ”, nous avons deux féminins ; en allemand, nous aurions “ la liberté ou le mort ”. Dans cette célèbre formule de la Terreur, nous avons une assignation très forte au féminin. Mozart, lui, par la seule force de la musique, nous fait entendre dans La Flûte enchantée que nous passons à travers “ la sombre nuit de le mort ”. » Pas indifférent, en effet, mais guère probant en l’occurrence...